July 20, 2003
Un grand nombre des utopies ont été idéalisées et développées par les philosophes pendant le cours des siècles ; entre celles - là, je retiens importante considérer celle de Johann Gottlieb Fichte (1762 – 1814), un philosophe allemand, influencé profondément par Kant. Dans sa œuvre « De la destination du savant et de l’homme des lettres » du 1794, Fichte esquissa le rôle du intellectuelle en rapport à la société. L’érudit a un rôle primaire et fondamental et il doit gouverner la société et offrir exemple de moralité supérieur. L’utopie fichtienne se montre, en effet, avec toute sa charme dans la choix du savant: il doit être l’homme moralement meilleur de son temps. La moralité, et en générale l’éthique, est définie par Fichte comme un continue (et infini) auto perfectionnement intérieur. En effet, un homme ne pourra jamais atteindre le status de perfection morale, autrement il identifierait avec Dieu. En tout cas, Fichte confirme l’importance de l’effort d’atteindre la moralité parfaite, que chaque homme, et en particulier, le savant, devrait actualiser, pour livrer les autres et pour faire progresser la société. En cette façon Fichte idéalise une sorte de mission sociale du savant, enchargé de devenir un des hommes plus morales et exemplaires. Le philosophe allemand retient que seulement grâce à l’auto perfectionnement intérieur est possible dépasser l’ensemble des obstacles qui s’opposent à l’obtention de la pleine et totale liberté intérieure. Chaque homme, chaque moi crée soi – même et le monde entourant : chaque obstacle est ainsi créé par le moi de chaque individu ; l’auto perfectionnement, la libération totale de ces obstacles qui conduirait l’homme à dominer n’importe quel évent (irrationnel ou causal) de la réalité qui vive, en le projetant (utopiquement) dans une vie prive d’obstacles, livre et qui coïncide uniquement avec celle de Dieu. L’érudit, en première lieu, mais aussi les autres hommes, doivent essayer de dominer, avec leur loi morale, les événements, les obstacles, les difficultés irrationnelles de la réalité. En telle façon on atteindrait une libération intérieure qui en tout cas n’aurait pas une fin, puisque atteinte la moralité suprême, l’homme ne pourrait être plus tel, mais devrait être défini comme Dieu, le suprême être morale. Selon Fichte, en effet, la moralité de chaque homme se réalise dans la tentative sans fin de se livrer intérieurement et de soumettre chaque évent de la réalité à ses propres lois morales. Le progrès sociale, qui coïncide avec la libération intérieure de chaque individu de la société, c’est le devoir de chaque savant qui ait une moralité excellente. Fichte croit profondément dans le continue développe, dans le progrès et dans l’élévation de chaque individu et dans la supériorité morale des savants. Sa utopie est charmante parce que elle garde une énorme puissance mais aussi un objectif magnifique : celui de tenter de dominer entièrement la réalité avec ses propres lois morales, en rendant chaque individu plus livre et en confiant aux savants le devoir de tel constante progrès sociale.
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